A la résidence de la Jaguère, les premiers habitants sont contents !

Appartements bien isolés, ensoleillement enviable, emplacement favorable... Les premiers occupants de l'éco-quartier expriment leur satisfaction. À terme, ils seront 2 000 environ.

À la Jaguère, cet éco-quartier situé à l'ouest de Rezé, non loin de la Trocardière, 800 logements sont prévus à terme. Un chantier chasse l'autre. Avant 2020, deux mille personnes habiteront ici. Soit comme locataires, soit comme propriétaires.

Le groupe Cif immobilier s'est montré le premier en action. « Nous avons livré, dès l'été dernier, les douze premières maisons, dont dix en locatif social, du cours Sarah-Bernhardt, à savoir dix T4 et deux T5, détaille Nicolas Michaud, responsable de territoire. Quant aux soixante appartements, rue de l'Aérodrome et avenue Willy-Brandt, la moitié sont livrés, deux immeubles sur quatre. »

De chez Audrey et Fred...

C'est à l'intérieur de ces deux premiers immeubles que l'on suit Nicolas Michaud. En premier lieu chez Audrey et Frédéric, un jeune couple qui vient d'emménager au troisième et avant-dernier étage, dans un T2 de 47 m². « On a eu les clés il y a un mois, et la cuisine vient juste d'être posée, explique Audrey. L'isolation est vraiment bien faite, fenêtres fermées, on n'entend pas la rue, ni les avions. Il manque seulement des volets côte rue. »

Le logement est agrémenté d'une terrasse de 30 m². « Les soixante appartements bénéficient d'une terrasse, ou d'un balcon, ou d'un jardin, assure Nicolas Michaud. Sans oublier la cave et la place de stationnement en sous-sol. »

Audrey, Frédéric et... leur chat sont heureux d'être là. « On connaît déjà nos voisins, sourit Audrey. C'est notre première acquisition en résidence principale. Et comme Frédéric va au travail en un quart d'heure à vélo, on va faire le choix d'une seule voiture. »

... à chez Dominique

Dans l'immeuble voisin, les ascenseurs sont larges. La preuve, une locataire en fauteuil roulant accède sans difficulté à son logement dans les étages. Mais c'est au rez-de-jardin que l'on retrouve Dominique, elle aussi satisfaite de son T3 d'une soixantaine de m². « Avant, j'habitais dans une petite maison trop sombre. Ici, il y a de la lumière ! Je ne suis plus qu'à 9 km de mon travail, et le Super-U n'est qu'à 500 m. »

Dominique attend surtout la finition du jardin, au printemps. « Je vais mettre des plantes vivaces et des fleurs. Il y a peu de bruit, j'entends déjà les fauvettes, c'est un peu la campagne. » Comme quarante autres occupants (1), Dominique a fait le choix de la location-accession : on commence par payer un loyer et si on s'y plaît, on lève l'option d'achat quelques mois plus tard.

Sabine et sa famille

« C'est un système avantageux, car il donne droit à une TVA réduite à 5,5 %, et à une exonération de taxe foncière pendant quinze ans, poursuit Nicolas Michaud. Ici, on est environ à 2 450 € le m². »

Troisième nouvelle occupante à nous ouvrir sa porte avec le sourire, Sabine loue une des dix maisons du cours Sarah-Bernhardt, avec son mari, sa fille et son fils. « Tout est neuf, tout fonctionne, on a quatre chambres dont une au rez-de-chaussée. Il y a aussi un poêle à bois pour l'hiver, un abri pour les vélos, et la maison est orientée plein sud. » Quel loyer, pour une petite centaine de m² ? 640 €.

Ravie de son nouvel environnement, Sabine n'attend plus qu'une chose : « Planter un potager ! » Entre les maisons et les immeubles, le groupe Cif a aussi prévu environ 200 m² de potagers collectifs.

(1) Dix-neuf autres ont choisi l'achat direct en résidence principale, ou en investissement locatif